vendredi 8 octobre 2010

L'accouchement naturel

Le principe de l'accouchement naturel décrit qu'une femme ayant donné naissance avec le moins d’interventions et de médicaments, à moins de risques de devoir subir une césarienne.
En général, l’accouchement débute spontanément entre 38 à 41 semaines après le débute de la dernière menstruation. Pour certaines femmes, c’est la rupture de la membrane amniotique qui signale le début du travail. La membrane amniotique est formée de plusieurs couches ; c’est pourquoi on parle aussi « des membranes ». Celle-ci enveloppe le fœtus et elle contient le liquide amniotique dans lequel il baigne. Lorsqu’elle se rompt, le liquide amniotique s’écoule. On fait souvent référence à la « perte des eaux » parce que le liquide qui s’écoule est clair comme de l’eau, quoiqu’il soit parfois un peu teinté de sang.

Pour la majorité des femmes, le travail commence par des contractions utérines. Quand le ventre de la femme devient dur, il s’agit de contractions qui ne sont pas vraiment douloureuses. Par contre, les contractions ressenties pendant l’accouchement sont différentes. Non seulement le ventre se durcit, mais les contractions sont de plus en plus inconfortables. En général, les femmes ressentent la douleur au bas du ventre, mais pour d’autres, la douleur se situe dans le bas du dos et s’étend vers l’avant. Certaines femmes trouvent que la douleur des contractions ressemble à celle des crampes menstruelles, en beaucoup plus fort. En fait, chaque femme ressent les contractions de façon unique. Les sensations peuvent être différentes d’un accouchement à l’autre.

Tout au long du travail, le corps se transforme pour permettre au bébé de se frayer un chemin vers le monde extérieur. Le travail comprend 3 grands stades suivants :
§         Ouverture du col de l’utérus (dilatation)
§         Descente et naissance du bébé
§         Expulsion du placenta



Tiré du livre : mieux vivre avec votre enfant de la grossesse à 2 ans 2010

jeudi 7 octobre 2010

L'accouchement par césarienne

L’accouchement par césarienne est pratiquée dans certaines conditions pour la sécurité de la mère et du bébé. Souvent, elle intervient lorsque c’est impossible d’accoucher naturellement. Voici quelques exemples :
  • Si l’enfant présente un volume important comparé au bassin de la mère
  • Si le bébé se place en mauvaise position
  • Dans le cas où l’enfant est prématuré, qui souffrirait d’un accouchement naturel
  • Si la mère présente un fibrome, un kyste ovarien ou un placenta praevia (placenta interdisant le passage du fœtus par voie basse)
L’accouchement par césarienne est également pratiquée lorsque l’accouchement ne doit pas être effectuée par les voies naturelles ou lorsque la grossesse doit être interrompue avant terme, pour des raisons de sécurité pour l’enfant ou pour la mère, comme :
§         En cas d’hémorragie maternelle
§         En cas de souffrance trop importante chez le fœtus
§         Lors de naissance multiple (plus de deux enfants)
§         Si la mère est malade
§         En cas d’incompatibilité de rhésus
§         Si la mère est, trop épuisée ou présentant des affections cardiovasculaires importantes, n’est plus a même de mener l’accouchement à son terme, et si la poursuite du travail représente un danger pour la vie de l’enfant

La péridurale permet de ne plus sentir la douleur des contractions lors de l'accouchement. Celle-ci peut ralentir la progression du travail parce qu'elle peut diminuer les contractions utérines et parce qu'elle empêche de bouger comme avant. C'est pourquoi on préfère ne pas la faire trop tôt et attendre que le travail soit bien amorcé.
Pour faire une péridurale, l'anasthésiste insère un aiguille entre deux vertèbre et il injecte un médicament qui a pour effet de « geler » la partie inférieure du corps. Il retire ensuite l'aiguille, mais il peut laisser en place un tube fin et souple (cathéter) qui permettra d,ajuster la quantité de médicaments tout au long du travail.
Voici une photo de la péridurale :



La production de gamètes

Un gamète est une cellule reproductrice qui est capable de se fusionner avec un autre gamète de sexe opposé. Sa fonction est d’assurer la reproduction et le développement de l’embryon. Ces cellules contiennent beaucoup de chromosomes chacune.
Le processus qui forme les gamètes est appelé la gamétogenèse.
Le processus qui réalise la fusion en deux gamètes de sexe opposés est appelé la fécondation. Celle-ci fabrique une nouvelle cellule unique, qui est le zygote.
Chez l’humain, une paires de chromosomes spéciaux, surnommés hétérosomes, qui sont porteurs de la différenciation sexuelle qui sont dissemblables ou non selon le sexe, qui vont alors se répartir de façon différente entre gamètes. C’est donc l’apport chromosomique du gamète mâle qui détermine le sexe génétique du zygote.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gam%C3%A8te

Les étapes de fécondation

Lors d’une relation sexuelle, les spermatozoïdes de l’homme sont déposés au fond du vagin de la femme. Les spermatozoïdes peuvent vivre jusqu'à 2 à 3 jours dans le vagin. Au tiers de la trompe de Fallope, les spermatozoïdes rencontrent l’ovule qui est près à être fécondé. L’ovule est libéré par l’ovaire.
Un seul spermatozoïde peut pénétrer dans l’ovule et quand celui-ci le fait, la fécondation peut avoir lieu. L’union du spermatozoïde et de l’ovule forme un zygote (futur bébé) qui évolue rapidement. Vers 16 à 18 heures après cette rencontre, les deux cellules qui portent 23 chromosomes chaque (celui de l’homme et celui de la femme) se fusionnent ensemble se qui donnent un être complet de 46 chromosomes qui contiennent tous les gène de l’embryon. Après s’être former, le zygote se déplace lentement vers l’utérus, là où il va grandir (dans le ventre de la mère)

Au 5e jour après la fécondation, la morula subit une accumulation d’une sorte de liquide qui forme la blastocoele. C’est le point de départ du développement des annexes fœtales comme le placenta, nouvelles cellules, etc. Vers la fin de ce jours, le zygote a une centaines de cellules.

http://www.cpma-vlg.be/physiologie.html




Le cycle menstruel de la femme


Lors de la période de l’adolescence chez la femme, du sang s’écoule du vagin de celle-ci pendant quelques jours ce qu’on appellent les règles ou les menstruations. Cela fait partie du processus de devenir une femme. Ce processus vous prépare à la possibilité d’une grossesse. Les changements comme les crampes, les sauts d’humeur et tes règles sont tous entraînés par des modifications d’hormones.

Pendant le processus de devenir une femme, les seins grossissent et des poils pubiens et aux aisselles poussent. Vous pourriez même remarquer quelques mois avant d’avoir vos règles, un liquide blanchâtre s’écoule du vagin.
Une fois par mois, un ovule quitte les ovaires et s’en va dans la trombe de Fallope (vers l’utérus). Pendant ce temps, les parois de l’utérus se forment pour être capable d’accueillir un nouvel ovule près à être fécondé. Si celui-ci est fécondé pas un spermatozoïde et que tu deviens enceinte, l’ovule fécondé se collera à l’utérus où il deviendra un futur bébé. Les règle sont là pour se débarrasser du sang et des tissus supplémentaires qui ne sont plus nécessaires, alors le cycle repart à zéro.



http://www.sexualityandu.ca/adolescents/la-vie-3-1.aspx

Le bagage génétique

Tout commence lorsque l’ovule et le spermatozoïde se rencontrent lors d’une relation sexuelle. La cellule de la mère et celle du père arrivent avec ses 23 chromosomes. Ensemble, elles donneront un être complet de 46 chromosomes. Les chromosomes sont en fait une longue molécule d’ADN remplit de plusieurs perles qui sont les gènes. Ensuite les gènes des parents se croisent et voilà se qui fait que nos yeux sont bleus, que nos cheveux sont bruns, etc.
 Si le fœtus est une fille, pour fabriquer un autre ovule, la mère a donné la moitié de ses 46 chromosomes (23 chromosomes) et a laissé l’autre moitié. Si c’est un garçon, c’est exactement la même chose pour le père.


http://www.famili.fr/,heredite-a-qui-va-t-il-ressembler,447,10364.asp